20 mai 2005
374 : Ne rien voir, ne rien entendre, m’est un grand bonheur
Dormir m’est cher et plus encore être de pierre,
Tant que règnent l’outrage et la honte ;
Ne rien voir, ne rien entendre, m’est un grand bonheur ;
Ne va point m’éveiller, je t’en prie, parle bas.
Michel-Ange
Ferdinand Maximilien Brokof (1688-1731): La Nuit.
Dominique Fernandez : Le banquet des anges. Plon, 1990.p.355.)
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