26 avril 2005
345 : nulla dies sine linea
[…] Selon un témoin qui, en 1782, avait assisté à la première des « Brigands », le public en fut ébranlé : « Le théâtre ressemblait à un asile de fous : yeux révulsés, poings levés, cris rauques, fusant dans la salle. Des gens qui ne se connaissaient...