20 juin 2009
1223 : Tout Dickens
Mais le plus troublant demeure les nombreux conseils médicaux à son « cher Vadim », l’évocation de la mort du frère ou les souvenirs d’enfance : « Je lisais à mon père qui souffrait des yeux Dickens, tout Dickens. »
Par ERIC LORET
Libération 18/06/2009
Maurice Blanchot Lettres à Vadim Kozovoï suivi de la Parole ascendante Edition établie par Denis Aucouturier. Manucius, «Le marteau sans maître», 222 pp., 18 euros.
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